Sous-marin argentin : l’espoir de retrouver des survivants désormais proche de zéro

La marine argen­tine n’en­vi­sage plus qu’une seule hypo­thèse après la dis­pa­ri­tion du sous marin : l’ex­plo­sion. Une annonce que ne sup­portent pas les proches des dis­pa­rus.

Source : Sous-marin argen­tin : l’es­poir de retrou­ver des sur­vi­vants désor­mais proche de zéro

Ho ba mince :O Des gens sont morts dans un bâti­ment pré­ci­sé­ment fait pour tuer des gens :O

Quelle iro­nie du sort.

Oui, ils sont inno­cents, mais ce n’étaient pas des civils. Donc oui, c’est triste, mais si la guerre n’existait pas, les sous marins non plus, et per­sonne ne serait mort.

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5 comments

  1. Ton rai­son­ne­ment serait juste s’ils étaient mort au com­bat.

    Sous-marin vétuste, bud­get très bas, ava­rie signa­lée sur la bat­te­rie mais igno­rée donc pas répa­rée…

  2. Ça reste un bâti­ment mili­taire… Com­bat ou pas c’est pareil pour moi, ça reste une belle iro­nie.

    Après oui clai­re­ment si tout le monde avait fait son bou­lot cor­rec­te­ment ça ne serait peut être pas arri­vé.

  3. Là je ne suis pas trop d’ac­cord. C’est assez sim­pli­fié comme rai­son­ne­ment.

    S’il n’y avait pas la guerre, on n’au­rait pas non plus toutes nos avan­cées tech­no­lo­giques ou médi­cales.

    De plus, une armée peut être seule­ment défen­sive. Ces gens font leur job et sont morts pour rien. Ce ne sont pas des civils mais ils ont quand même une famille.

    La rai­son de la guerre est un autre débat. Pour le moment on ne peut pas faire autre­ment que d’a­voir une armée. À part si tu veux défendre tes proches à leur place ?

  4. Je ne suis pas d’ac­cord. Il est vrai que les avan­cées tech­no­lo­giques ont été et sont sou­vent réa­li­sées en pre­mier mieux lieu par le domaine mili­taire,
    mais rien ne peux nous per­mettre d’af­fir­mer que sans guerre, notre civi­li­sa­tion n’au­rait pas abou­ti au même résul­tat, ou même n’au­rait pas eu d’a­van­cée tech­no­lo­gique supé­rieure.

    Et une armée même “défen­sive” reste une armée, et est entrai­née essen­tiel­le­ment pour le com­bat, et donc tuer.

    Cela ne veut pas dire pour autant que la dis­pa­ri­tion, voir la mort de ces hommes soit une bonne chose. Toute mort est regret­table.

  5. « mais rien ne peux nous per­mettre d’affirmer que sans guerre, notre civi­li­sa­tion n’aurait pas abou­ti au même résul­tat, ou même n’aurait pas eu d’avancée tech­no­lo­gique supé­rieure. »

    C’est un point très juste, mais le contraire est éga­le­ment vrai. On ne peut pas savoir.

    Quand on regarde l’histoire, la majo­ri­té des avan­cées pro­viennent de l’armée, des guerres et sur­tout ses consé­quences.
    Et pas juste en arme­ment ou simi­laires : il n’est pas dit que les ten­ta­tives pour soi­gner un bras cas­sé se soient faites aus­si tôt si ce n’était pour les sol­dats, sachant que les pre­miers à qui ça arri­vaient était sûre­ment les pay­sans pauvres et non les nobles…

    ==

    Dans tous les cas, qu’ils soient morts est une chose regret­table, oui, mais ces per­sonnes ont éga­le­ment signé pour y aller, et je pense que quand on s’enrôle là-dedans, on est un p’tit peu conscient des risques. C’est l’armée, quand-même : on devient mili­taire, c’est un métier “plu­tôt” ris­qué.

    Les acci­dents peuvent arri­ver par­tout, ceci-dit.
    Quand il était le temps des navettes spa­tiales amé­ri­caines, ils avaient (si je me sou­viens) une chance sur 60 de ne pas reve­nir vivants. Pour les fusées lunaires, c’était 1 sur 20. Et pour­tant ces gens y allaient quand-même.

    Tous ces argen­tins ont ser­vi leur pays et en ont payé de leur vie.
    Si ça pour­rait ins­pi­rer un peuple de ne plus se jeter dans les bras de la guerre, ça n’aurait pas été en vain… Mais je doute que ça arrive. Mal­heu­reu­se­ment.

    Quant au nombres de per­sonnes dans l’équipage, il est de 44.

    Le temps de 36 heures, en Argen­tine, il en meurt autant sur les routes (src), et ça c’est toute l’année durant.

    Du coup, je trouve cette média­ti­sa­tion rela­ti­ve­ment exa­gé­rée quand-même, si on com­pare au reste de ce qui se passe.

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