Gameplay divers — Octobre 2024

Je me suis relan­cé une run de The Sin­king City, qu’est-ce que j’a­dore ce jeu. Cette fois-ci en dif­fi­cul­té max, que ce soit au niveau des com­bats ou des enquêtes. Un truc me gênait en dif­fi­cul­té max des enquêtes, c’est que l’on n’a aucune indi­ca­tion pour savoir que tous les indices ont été récu­pé­rés, pou­vant poten­tiel­le­ment ame­ner à des situa­tions blo­quantes. Mais en fait, quand tous les indices sont récu­pé­rés, on gagne un bonus d’XP qui est lui affi­ché. Donc cela per­met de jouer au jeu sans trop de frus­tra­tion, et sans être aidé. C’est vrai­ment un jeu incroyable, étant fan des livres de Love­craft, c’est un plai­sir de jouer à ce jeu, que je trouve très joli et immer­sif.

J’ai lan­cé aus­si pour la pre­mière fois Kena, et wow quel chouette jeu. Il a clai­re­ment de l’in­té­rêt en dif­fi­cul­té max, on retrouve les bonnes sen­sa­tions d’un Dark Souls. Les binds manette de base ne sont pas ouf, j’ai fait quelques chan­ge­ments. J’au­rais du mal à le recom­man­der, il faut adhé­rer à la DA et à son game­play dif­fi­cile, mais per­son­nel­le­ment j’a­dore. Je pense aller jus­qu’au bout. Je n’ai volon­tai­re­ment pas spoi­lé le boss Kap­pa, il a failli me faire lâcher le jeu avant de com­prendre que chaque boss a une façon pré­cise de le battre qu’il faut com­prendre. Le game­play est plus pro­fond qu’il n’en a l’air.

Satis­fac­to­ry. OMG ce jeu. Il est enfin sor­ti en 1.0, j’ai enfin pu m’y mettre. Je n’a­vais pas com­pris au départ le prin­cipe du jeu. Je pen­sais créer une grosse usine, avec des étages, jolie, mais il faut plus voir le jeu comme un puzzle game. Le jeu vous donne un objec­tif, des outils basiques, et à vous de vous débrouiller, de tes­ter des choses. Le jeu me donne des sen­sa­tions de pro­gram­ma­tion, m’a fait sor­tir une feuille et un crayon, quel plai­sir. Il ne faut pas créer une méga usine, mais plu­tôt plu­sieurs petites usines qui répondent cha­cune à un pro­blème. Le jeu est grand, il ne faut pas hési­ter à prendre de la place. Ce jeu est un bijou de pro­gram­ma­tion. Il se renou­velle constam­ment, vous obsède, on a hâte de le relan­cer. Le jeu a aus­si l’in­tel­li­gence de mettre des res­sources infi­nies, vous ne pou­vez pas perdre, ni être blo­qué par le temps. C’est un jeu simple, qui détend, si on accepte de se prendre la tête avec soi-même. Il faut expé­ri­men­ter, réflé­chir, se poser des ques­tions. C’est un jeu d’une intel­li­gence rare.

Har­ves­tel­la ! Je pen­sais trou­ver un jeu de ges­tion de ferme, je me retrouve entre un mix d’un jeu de ferme oui, mais avec de l’ex­plo­ra­tion de don­jons, ain­si qu’un côté visual novel. Le jeu a par­fois des allures de Xeno­blade et Nier Auto­ma­ta. Le jeu est long (j’en suis à 70h et tou­jours cap­ti­vé !), je dois être aux 2/3 du jeu. Le jeu est par­fait sur une machine por­table, avec des petites ses­sions régu­lières au fond du lit. Le jeu est bien­veillant, rafraî­chis­sant, l’his­toire est sur­pre­nante et part vrai­ment plus loin que ce dont le pro­pos ini­tial peut lais­ser sup­po­ser. On ne peut pas perdre, rien lou­per, les jours défilent mais on peut jouer une infi­ni­té de jours. Un jeu idéal pour un ado qui veut décou­vrir le monde du JRPG. J’aime beau­coup ce jeu, et les musiques ont rejoint ma biblio­thèque.

 

Pro­blèmes de lec­ture ? Rédui­sez au 1080p.

720p et 1080p en h264 ; 1440p en av1.

One comment

  1. J’ai fini Kena, et effec­ti­ve­ment, en dif­fi­cul­té moyenne, le jeu s’a­vé­rait pour moi bien trop simple et j’ai fais comme toi, j’ai pous­sé la dif­fi­cul­té au max. Je me suis ravi­sé sur le der­nier boss qui m’a fait bien trop souf­frir et je l’ai ter­mi­né un grade en des­sous.
    L’a­van­tage, c’est qu’on peut modi­fier la dif­fi­cul­té sans devoir recom­men­cer le jeu, et ça c’é­tait appré­ciable.
    De même, j’ai dû tes­ter plu­sieurs com­bi­nai­sons sur la manette pour trou­ver une flui­di­té cor­recte.

    Satis­fac­to­ry, pas cer­tains de test, je risque de pas­ser trop de temps des­sus, et j’ai­me­rais déjà finir BG3 :D
    mais les potes sont des­sus et effec­ti­ve­ment ils s’é­clatent.

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