Un revolver open-source à 8 coups imprimable en 3D — Tech — Numerama

Un étu­diant amé­ri­cain a mis en ligne les plans d’une arme à feu réa­li­sable avec une simple impri­mante 3D de base. Il suf­fit d’a­jou­ter un élas­tique et un clou pour avoir un revol­ver par­fai­te­ment fonc­tion­nel.

Source : Un revol­ver open-source à 8 coups impri­mable en 3D — Tech — Nume­ra­ma

Certes l’arme ne fait pas son­ner les détec­teurs, mais les muni­tions ? Elles sont en plas­tique aus­si ?

Celui qui peut cacher des balles, dans un avion par exemple, peut aus­si cacher une arme.

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3 comments

  1. Des muni­tions en plas­tique, j’en doute (au moins pour les armes à feu des­ti­nées à tuer).

    Pour avoir déjà vu des balles en plomb et en cuivre (juste la balle, sans la car­touche) avant le tire et après, on voit qu’il est défor­mé à mort.

    Le plomb et le cuivre sont certes mal­léables, mais bien moins que le plas­tique. Sans comp­ter la tem­pé­ra­ture atteinte dans la car­touche : plu­sieurs cen­taines de degrés. Aucune matière plas­tique ou orga­nique ne peut résis­ter à ça : les molé­cules sont sim­ple­ment trop fra­giles pour résis­ter à la cha­leur.

    Pour cacher ça dans un avion, oui c’est inutile à moins de tout fouiller à fond, mais ça ne sera jamais fait.

  2. Oui donc ces armes sont un faux pro­blème du coup, non ?
    À moins que les détec­teurs ne détectent pas les balles ? Ça m’é­ton­ne­rait quand même…

  3. Pour les aéro­ports et les avions c’est un faux pro­blème, oui, mais pour le reste non : n’importe qui peut se faire son arme chez lui.

    Il lui reste que les muni­tions à récu­pé­rer. C’est donc les muni­tions qu’il faut régle­men­ter.

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